Plusieurs fois ministre des affaires étrangères dans les
gouvernements de la IVeme république, il est l'un des acteurs de la
construction européenne.
Ayant toujours pris la défense du camp
colonial, s'opposant même à Mendes-France lors des négociations entamées après Dien Bien Phu. Son engagement colonial est alors critiqué dans son parti par J.Lecanuet.
La guerre d'Algérie le fait s'engager du côté des
extrémistes partisans de l'Algérie française (OAS).
Obligé
de s'exiler en 1963, il ne revient en France qu'après l'amnistie de juillet 1968.
Dernière mise à jour :janvier 2000